Habs prospects on Julien: respect
Jan 9, 2003 22:36:25 GMT -5
Post by Yeti on Jan 9, 2003 22:36:25 GMT -5
This RDS article on Julien talks about respect. For Ribeiro, The Bulldogs are having success because the coach is respected and everyone follows his system. It starts from there. Hossa (he's a good coach, he made us play as a group) and Hainsey (he's an excellent coach, he's in charge) are also praising him a lot. They don't have to do that, certainly not with so many kind words if it is not true.
Claude Julien serait le grand responsable des succès des Bulldogs
Claude Julien contrôle bien la situation à Hamilton selon Mike Ribeiro.
Jeudi 9 janvier 2003 - MONTRÉAL (PC) - À bien y penser, ce n'est pas si surprenant que les Bulldogs d'Hamilton, la filiale du Canadien, dominent toute la compétition.
Bien peu d'équipes dans la LNH ont autant de joueurs capables de jouer dans des troisièmes et quatrièmes trios, les candidats parfaits pour la Ligue américaine. De plus, le Canadien partage cette filiale avec les Oilers d'Edmonton, qui y ajoutent leurs meilleurs espoirs (le Canadien sera seul la saison prochaine).
Pourtant quand on demande à Mike Ribeiro, qui a fait un court séjour là-bas, d'expliquer les succès d'une équipe invaincue à ses 17 derniers matchs et qui vient d'égaler un record avec 13 victoires consécutives sur la route, il n'hésite pas un seul instant.
«L'entraîneur», répond-il sans hésitation.
Les performances des Bulldogs de Hamilton font jaser
«Il contrôle bien la situation, tout est bien structuré et les joueurs jouent selon son système.» <br>
Pourtant, Julien a la tâche compliquée par le fait qu'il doit satisfaire aux exigences de deux organisations qui lui donnent un surplus de joueurs qu'elles souhaitent voir progresser.
«Justement, il a réussi à faire une équipe et à créer un bon esprit malgré tout ça», explique un Ribeiro admiratif.
Mais qu'est-ce qui fait la force de Julien?
«Je pense qu'il est respecté. Ça part de là», répond Ribeiro.
«C'est un excellent entraîneur, qui prend charge, confirme Ron Hainsey. Il a su bien mêler les joueurs de Montréal et Edmonton. À la défense quand j'étais là, chaque défenseur appartenant au Canadien jouait avec un des Oilers. Je ne sais pas si c'était voulu.» <br>
«On s'amuse là-bas. L'entraîneur fait que les joueurs se sentent bien», affirme pour sa part Marcel Hossa, qui avait 19 buts en 37 matchs avant d'être rappelé. Tout comme Hainsey, Hossa convient que la tâche de Julien ne doit pas toujours être facile en devant plaire à deux employeurs.
«Mais c'est un bon entraîneur, dit-il à son tour, et il a formé un seul groupe.» <br>
De bons joueurs aussi
«L'équipe est jeune et c'est un avantage pour que les joueurs écoutent l'entraîneur», a encore noté Hainsey, qui estime que le fait d'avoir des espoirs de deux organisations a aussi ses avantages évidents puisqu'elle offre un plus grand choix de joueurs.
Ceux de l'organisation du Canadien sont les plus en évidence, mais ils ne sont pas les seuls. Jani Rita, par exemple, se retrouve parmi les 10 meilleurs compteurs de la LAH et Ty Conklin fait du bon travail comme gardien. Fernando Pisani vient quant à lui d'être rappelé par les Oilers.
Les Bulldogs peuvent aussi compter sur quelques vétérans leaders, comme Benoit Gratton et Jason Ward, qui dominent les compteurs de la LAH, ou encore le défenseur Francis Bouillon.
Les gardiens Eric Fichaud (1,39 en sept matchs) et Mathieu Garon (1,99 en 16) sont les seuls de la LAH à présenter une moyenne inférieure à 2,00. Fichaud a un pourcentage d'arrêts de .947 et Garon de .928, devancé seulement par un autre Québécois, Maxime Ouellet (Portland).
Ici encore, Julien parvient à satisfaire tout son monde puisque Conklin (2,18, .921) a été son gardien le plus utilisé, ayant pris part à la moitié des matchs.
Claude Julien serait le grand responsable des succès des Bulldogs
Claude Julien contrôle bien la situation à Hamilton selon Mike Ribeiro.
Jeudi 9 janvier 2003 - MONTRÉAL (PC) - À bien y penser, ce n'est pas si surprenant que les Bulldogs d'Hamilton, la filiale du Canadien, dominent toute la compétition.
Bien peu d'équipes dans la LNH ont autant de joueurs capables de jouer dans des troisièmes et quatrièmes trios, les candidats parfaits pour la Ligue américaine. De plus, le Canadien partage cette filiale avec les Oilers d'Edmonton, qui y ajoutent leurs meilleurs espoirs (le Canadien sera seul la saison prochaine).
Pourtant quand on demande à Mike Ribeiro, qui a fait un court séjour là-bas, d'expliquer les succès d'une équipe invaincue à ses 17 derniers matchs et qui vient d'égaler un record avec 13 victoires consécutives sur la route, il n'hésite pas un seul instant.
«L'entraîneur», répond-il sans hésitation.
Les performances des Bulldogs de Hamilton font jaser
«Il contrôle bien la situation, tout est bien structuré et les joueurs jouent selon son système.» <br>
Pourtant, Julien a la tâche compliquée par le fait qu'il doit satisfaire aux exigences de deux organisations qui lui donnent un surplus de joueurs qu'elles souhaitent voir progresser.
«Justement, il a réussi à faire une équipe et à créer un bon esprit malgré tout ça», explique un Ribeiro admiratif.
Mais qu'est-ce qui fait la force de Julien?
«Je pense qu'il est respecté. Ça part de là», répond Ribeiro.
«C'est un excellent entraîneur, qui prend charge, confirme Ron Hainsey. Il a su bien mêler les joueurs de Montréal et Edmonton. À la défense quand j'étais là, chaque défenseur appartenant au Canadien jouait avec un des Oilers. Je ne sais pas si c'était voulu.» <br>
«On s'amuse là-bas. L'entraîneur fait que les joueurs se sentent bien», affirme pour sa part Marcel Hossa, qui avait 19 buts en 37 matchs avant d'être rappelé. Tout comme Hainsey, Hossa convient que la tâche de Julien ne doit pas toujours être facile en devant plaire à deux employeurs.
«Mais c'est un bon entraîneur, dit-il à son tour, et il a formé un seul groupe.» <br>
De bons joueurs aussi
«L'équipe est jeune et c'est un avantage pour que les joueurs écoutent l'entraîneur», a encore noté Hainsey, qui estime que le fait d'avoir des espoirs de deux organisations a aussi ses avantages évidents puisqu'elle offre un plus grand choix de joueurs.
Ceux de l'organisation du Canadien sont les plus en évidence, mais ils ne sont pas les seuls. Jani Rita, par exemple, se retrouve parmi les 10 meilleurs compteurs de la LAH et Ty Conklin fait du bon travail comme gardien. Fernando Pisani vient quant à lui d'être rappelé par les Oilers.
Les Bulldogs peuvent aussi compter sur quelques vétérans leaders, comme Benoit Gratton et Jason Ward, qui dominent les compteurs de la LAH, ou encore le défenseur Francis Bouillon.
Les gardiens Eric Fichaud (1,39 en sept matchs) et Mathieu Garon (1,99 en 16) sont les seuls de la LAH à présenter une moyenne inférieure à 2,00. Fichaud a un pourcentage d'arrêts de .947 et Garon de .928, devancé seulement par un autre Québécois, Maxime Ouellet (Portland).
Ici encore, Julien parvient à satisfaire tout son monde puisque Conklin (2,18, .921) a été son gardien le plus utilisé, ayant pris part à la moitié des matchs.